Lorsque l’on perd un être cher, il est essentiel de pouvoir régler les questions successorales rapidement et sereinement.

Une cliente de notre cabinet, récemment veuve, a hérité de l’ensemble des biens de son mari en Israël conformément à son testament. Notre rôle a été de l’accompagner dans toutes les démarches de transfert de propriété.

  • Comptes bancaires, véhicules, biens mobiliers : la procédure est en général simple. La présentation de l’ordonnance d’homologation suffit et les institutions procèdent au transfert.
  • Biens immobiliers : ici, les choses se compliquent souvent.
    Si certains cas permettent une transmission automatique via le registre foncier (Tabou), dans bien des situations, comme pour notre cliente, un travail approfondi est nécessaire.

Notre cliente et son époux avaient acquis au fil des années plusieurs biens en Israël et à l’étranger. Certains étaient enregistrés sous d’anciens numéros de passeport étrangers , différents les uns des autres. Avant de pouvoir transférer l’ensemble à l’héritière, il a fallu mettre à jour les enregistrements et prouver l’identité du défunt à l’aide de passeports, documents anciens et attestations notariales.

➡️ Ces procédures peuvent sembler lourdes, mais elles sont indispensables : négliger aujourd’hui les rectifications entraîne des complications bien plus coûteuses et difficiles pour la génération suivante.

Grâce à notre expérience, nous avons pu régulariser tous les enregistrements. Aujourd’hui, notre cliente est reconnue sans équivoque comme propriétaire officielle de ses biens immobiliers – et peut envisager l’avenir avec tranquillité, sachant qu’elle laissera un patrimoine clair et sécurisé à ses enfants.

💼 Notre cabinet est spécialisé en droit immobilier et successions. Nous savons résoudre les situations complexes et simplifier vos démarches pour vous offrir sérénité et sécurité juridique.

Avec l’espoir du retour des otages, de la protection de nos soldats et du rétablissement des blessés.

Cet article est fourni à titre informatif uniquement et ne remplace pas un conseil juridique personnalisé.

 

 

Transmettre un bien immobilier à ses enfants est une décision importante, qui doit être bien préparée. En Israël, le processus de donation d’un appartement est régi par des règles juridiques spécifiques, qu’il est essentiel de comprendre pour éviter des erreurs coûteuses. Voici quelques conseils pour vous aider à naviguer dans cette démarche.

 

Les étapes clés pour donner un appartement en Israël

  • Vérification de la propriété Avant de transmettre un bien, il est primordial de s’assurer que la propriété est enregistrée correctement au Tabu (registre foncier israélien). Cette vérification permet d’éviter tout litige futur.

 

  • Rédaction de déclarations de donation La donation d’un appartement nécessite la rédaction de déclarations du donateur et du donataire , qui stipule les conditions de la donation, comme la date de transfert Ces déclarations doivent être rédigé et authentifie par un avocat spécialisé pour être juridiquement valide.

 

  • Signature devant un notaire ou un avocat En Israël, les actes de donation immobilière doivent être signés devant un avocat ou un notaire, qui authentifie les documents et vérifie l’identité des parties. Cette étape est cruciale pour officialiser la donation.

 

  • Déclaration aux impôts: En Israël, les déclarations de donation immobilière doivent présenter aux impôts, qui doivent comme dans toute transaction émettre une autorisation concernant la taxe d’acquisition et de la plus-value.

 

  • Enregistrement au Tabu Une fois les déclarations signées, et après avoir obtenu l’accord des impôts,  l’appartement doit être enregistré au nom de l’enfant dans le registre foncier. Cette démarche garantit que le transfert de propriété est reconnu juridiquement.

 

  • Paiement des taxes :
    • Taxe d’acquisition (“Mas Rechicha”) : Les donations entre parents et enfants bénéficient généralement d’une réduction  ou  réduction significative de la taxe d’acquisition (1/3 de la taxe qui se serait applique si il ne s’agissait pas d’une donation).
    • Taxe sur la plus-value (“Mas Shevach”) : Cette taxe peut être exonère selon la situation fiscale du parent donateur. Pour les donations entre freres et sœurs la situation est plus complexe. Il est important de bien comprendre ces obligations fiscales pour éviter toute surprise.
    • Attention: la donation immobilière entraine obligatoirement une période de 1an à 4 ans selon la situation du donataire ou ce dernier ne pourra pas revendre le bien en étant exempte de la plus-value

 

Conseils pour une donation réussie

  • Anticiper les conséquences fiscales et familiales : Une donation peut avoir des implications fiscales mais aussi des répercussions sur les relations familiales. Un accompagnement juridique permet de prévenir les conflits.
  • Privilégier une donation progressive : Si vous souhaitez conserver un certain contrôle sur le bien, vous pouvez opter pour une donation partielle ou assortie de conditions (par exemple, le droit d’habiter le bien jusqu’à un certain âge).
  • Se faire accompagner par des avocats spécialisés : Les lois et règlements en Israël étant complexes, il est fortement recommandé de confier votre projet à des professionnelles du droit.

 

Vous souhaitez donner un appartement à vos enfants en Israel? Faites appel au cabinet Shor Cohen

  • Expertise reconnue : Spécialisé en immobilier et en droit des successions, le Cabinet Shor Cohen vous assure un accompagnement sur mesure.
  • Gestion complète : De la rédaction des déclarations de la donation à l’enregistrement au Tabu, les avocates s’occupent de toutes les formalités.
  • Prévention des erreurs : Les lois israéliennes étant complexes, entreprendre seul une donation peut entraîner des complications coûteuses. Le Cabinet vous guide à chaque étape.
  • Accompagnement humain : L’équipe d’avocates et de notaires met un point d’honneur à comprendre vos besoins et à y répondre avec bienveillance.

 

Donner un appartement à ses enfants en Israël est une opportunité unique de préparer leur avenir tout en optimisant votre patrimoine. Cependant, un tel projet nécessite une approche rigoureuse et un accompagnement adapté. Le Cabinet Shor Cohen vous offre l’expertise nécessaire pour naviguer dans les complexités juridiques et fiscales, tout en veillant à ce que chaque étape soit réalisée en toute sérénité. Contactez-nous pour transformer votre projet en un succès durable.

 

Faire une donation de son vivant est une démarche réfléchie qui permet de transmettre une partie de son patrimoine à ses proches ou à des tiers, tout en bénéficiant d’avantages juridiques et fiscaux. En Israël, les règles concernant les donations sont spécifiques et nécessitent une bonne connaissance du droit immobilier et des successions.

Qu’est-ce qu’une donation?

Une donation est un transfert de biens, effectué volontairement et sans contrepartie financière, d’une personne (le donateur) à une autre (le bénéficiaire). Cela peut concerner différents types de biens :

  • Immobilier : appartements, terrains, locaux commerciaux.
  • Monétaire : transferts d’argent ou valeurs mobilières.
  • Objets de valeur : bijoux, œuvres d’art, etc.

Pourquoi envisager une donation en Israël ?

  • Anticiper une succession : Permet de transmettre une partie de son patrimoine sans attendre l’ouverture de la succession.
  • Protéger ses proches : Assurer un soutien financier immédiat à ses enfants ou à d’autres membres de la famille.
  • Optimisation fiscale : Réduire l’assiette imposable au moment de la succession (sous certaines conditions).

Le processus de donation en Israël

Le droit israélien impose certaines règles pour valider une donation.

  1. La rédaction d’un acte de donation

L’acte doit être rédigé et signé devant un avocat ou un notaire, avec une description précise des biens donnés, et évidemment une déclaration qu’il s’agit d’une donation sans aucune contrepartie.

  1. L’accord des deux parties

La donation est un acte bilatéral : le donateur doit exprimer son intention de donner, et le bénéficiaire doit accepter explicitement.

  1. La déclaration auprès des autorités compétentes

Certaines donations, notamment immobilières, doivent être déclarées auprès du Tabou (registre foncier israélien). Cela garantit la mise à jour des titres de propriété.

  1. Le traitement fiscal

En Israël, les donations entre membres proches de la famille bénéficient souvent d’une exonération d’impôt. Cependant, pour les donations impliquant des tiers ou des biens immobiliers, des taxes peuvent s’appliquer.

Les cas spécifiques de donations en Israël

  • Donation à un enfant : Souvent utilisée pour transmettre un bien immobilier sans attendre une succession. On peut également décider de conserver un droit d’usage sur le bien jusqu’à un certain âge. Elle peut présenter également des avantages fiscaux lors de la vente future du bien
  • Donation pour une cause publique ou caritative : Les donations à des organisations reconnues d’utilité publique peuvent offrir des avantages fiscaux.

Les conseils du cabinet Shor Cohen pour une donation réussie

  • Consulter un avocat spécialisé : Les règles des donations varient selon les cas. Un expert vous guidera dans la rédaction de documents conformes et optimisera vos démarches.
  • Vérifier les implications fiscales : Bien que les donations soient généralement exonérées d’impôt en Israël pour les proches, certains cas peuvent entraîner des taxes. Prenez en compte qu’en Israël les impôts peuvent recaler la donation s’il s’agit d’une donation déguisée uniquement pour fuir les impôts. Pour éviter cela un conseil juridique est obligatoire.
  • Penser à l’avenir : La donation permet souvent d’éviter des conflits dans une succession. Attention si vous êtes résident français mais que vous possédez des biens en Israël, il faut bien vérifier les implications fiscales en France et une déclaration devant le Notaire en France!
  • Pourquoi choisir le cabinet Shor Cohen pour réaliser une donation en Israël ?
  • Une expertise pointue en droit immobilier et successions : Les avocates maîtrisent les subtilités du droit israélien, ce qui garantit des démarches sans mauvaises surprises.
  • Un accompagnement personnalisé : Chaque dossier est unique, et elles prennent le temps d’écouter vos besoins.
  • Une équipe multilingue : Me Shor et Me Cohen parlent français, hébreu et anglais, idéal pour les résidents internationaux ou les familles franco-israéliennes.
  • Une prise en charge complète : De la rédaction des actes à l’enregistrement auprès des autorités, elles s’occupent de tout.

Les donations en Israël sont une solution efficace pour transmettre votre patrimoine tout en anticipant les défis juridiques et fiscaux. Faire appel aux avocates du cabinet Shor Cohen, vous permet de naviguer sereinement dans ce processus, en vous assurant que tout est fait dans le respect de la loi. N’hésitez pas à contacter le cabinet pour bénéficier d’un accompagnement adapté à votre situation.

 

La perte d’un être cher s’accompagne de beaucoup d’émotions et, en même temps, de nombreuses tâches complexes liées à sa succession s’ajoutent. Nommer un administrateur de la succession est le moyen de garantir que tous les actifs, passifs et droits seront gérés de manière professionnelle, équitable et transparente.

 

Qu’est-ce qu’un administrateur de la succession en Israël ?

Il s’agit d’une personne neutre et professionnelle désignée par le tribunal pour gérer tous les aspects juridiques, financiers et personnels liés à la succession.

 

Pourquoi nommer un administrateur lors d’une succcession en Israel ?

 

Son rôle est d’assurer la répartition des biens conformément au testament ou à la loi.

Cela réduit les tensions entre les membres de la famille, notamment dans les cas complexes.

Il s’occupe des dettes, des actifs, de louer les biens de la succession etc.. Et de toute la bureaucratie – au lieu que vous ayez à vous en occuper vous-même.

Et surtout, cela procure une tranquillité d’esprit dans une période sensible.

 

 Exemple d’un recours à un administrateur de succession en Israel

Le père de famille est décédé et a laissé derrière lui de multiples biens : des appartements à louer, des comptes bancaires en Israël et à l’étranger et une entreprise active. Les enfants, qui entretenaient une relation étroite, ont eu du mal à comprendre comment diviser les biens et gérer l’entreprise de manière à maintenir l’activité de la société et la gérance des locations.. Avec de l’administrateur de la succession, ils ont reçu des conseils professionnels qui les ont aidés à mettre de l’ordre, à maintenir la valeur des actifs et à éviter des conflits inutiles.

 

Laissez les professionnels s’occuper de tous les détails !

Contactez-nous pour un premier conseil sur la nomination d’un administrateur de la succession et un accompagnement personnalisé dans le processus.

 

S.est décédé, laissant derrière lui des biens qu’il a légués à son fils unique. Parmi les biens du défunt, S. possédait un appartement hypothéqué auprès d’une banque en Israël dans le cadre d’une prêt qu’il a obtenu en Israël.

Lors de la souscription du prêt hypothécaire, S. est tenu de souscrire une assurance vie. Une telle assurance vie est exigée par les banques hypothécaires, afin de garantir qu’en cas de décès de l’emprunteur, le prêt sera entièrement pris en charge par l’assurance.

S. savait que sans assurance, il ne pourrait pas obtenir d’hypothèque en Israël. S. savait également qu’en raison de son état de santé, il était possible que la compagnie d’assurance refuse de l’assurer. Ainsi, en remplissant le questionnaire médical, S n’a pas déclaré son véritable état de santé.

 

Après son décès, une réclamation a été déposée auprès de la compagnie d’assurance pour couvrir l’hypothèque. La compagnie d’assurance a vérifié le dossier médical de S. et a découvert qu’en remplissant le questionnaire médical, S. n’avait pas déclaré la vérité et avait donc refusé d’exercer l’assurance.

 

Réglementation de l’assurance vie en Israël

La Loi sur le contrat d’assurance réglemente les conditions relatives à la constitution du contrat, à sa réalisation ou à sa résiliation. La loi impose à l’assuré une obligation de divulguer des informations à l’assureur tant en réponse à des réponses complètes et honnêtes concernant son état de santé (un assuré sera considéré comme ayant violé cette obligation même s’il l’a fait de bonne foi ou pour un autre motif que l’intention frauduleuse) et dans la divulgation d’informations importantes initiée par l’assuré (la dissimulation volontaire de ces informations est considérée comme ne pas donner une réponse complète et honnête).

 

La loi Israélienne prévoit que dans le cas où l’assuré a fourni de fausses informations en remplissant une déclaration de santé, ou si l’assureur prouve que si on lui avait transmis le véritable état de sante de l’assure, il n’aurait pas du tout signé le contrat d’assurance, alors la compagnie d’assurance peut résilier la police et ne pas couvrir l’hypothèque au moment du décès.

 

En conclusion, ne prenez pas à la légère le formulaire  de l’assureur lors de la rédaction du contrat d’assurance. De fausses informations fournies par l’assuré peuvent , selon la loi en Israël, annuler l’obligation du contrat à son égard, et dans ce cas, à l’égard de ses héritiers qui doivent faire face à des remboursements du prêt même après le décès du défunt..

 

Notre étude représente dans cette affaire en tant qu’administrateurs de la succession du défunt.   Il s’agit d’une affaire jugée actuellement  devant les tribunaux et nous nous ferons un plaisir de vous tenir au courant des développements.

 

Notre cabinet est spécialisé dans les successions et sera à votre disposition dans ce domaine.

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Cet article est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un avis juridique

 

Lorsqu’une personne décède, elle laisse derrière elle des biens et des droits, appelés «succession ». La succession d’une personne est partagée entre ses héritiers, qu’ils soient héritiers légaux, conformément au droit de succession, ou qu’ils soient héritiers selon un testament, conformément à la volonté défunt.

Parfois, la répartition de la succession conformément au droit successoral ou conformément au testament crée des difficultés que les héritiers cherchent à surmonter. Par exemple, si un des héritiers est résidant à l’étranger et qu’il doit vendre un bien de la succession en Israël, il sera surimposé par rapport aux autres héritiers israéliens : on pourrait être amené à transférer le bien de manière légale, aux autres cohéritiers résidents en Israël et ainsi réduire le cout des impôts.   Autre exemple la convention de partage permet de répartir différemment l’héritage avec le consentement de tous les héritiers afin d’éviter l’indivision.

Droit de succession en Israël

Le droit des successions en Israël permet aux héritiers (et eux seuls) de s’entendre et de modifier le mode de répartition de la succession (qu’elle soit déterminée par la loi ou qu’elle soit déterminée par le testament) en rédigeant une convention de partage successoral. La convention de partage successoral est un contrat, passé entre l’ensemble des héritiers, portant sur le partage des biens successoraux. Le partage peut être, grâce à cette convention différente de ce que la loi ou le cas échéant le testament prévoit.

Que dit la  convention de partage successoral en Israël

La convention de partage successoral est un contrat, passé entre l’ensemble des héritiers, portant sur le partage des biens successoraux

 Ce contrat doit être rédigé et signé avant le partage des biens de la succession. Dans la mesure où les biens de la succession ou une partie de ceux-ci ont déjà été partagés entre les héritiers, il n’est pas possible de conclure un accord de partage de la succession.

Un accord de répartition successorale signé est valable dans les institutions requises, notamment les banques, le bureau du cadastre, les sociétés de logement, etc.

Un accord de partage successoral est-il adapté à votre situation ? Ceci doit être clarifié avec des avocats spécialisés dans le domaine des successions en Israël, qui considèrent l’ensemble des circonstances et adaptent l’accord aux besoins uniques de chaque cas.

Notre cabinet d’avocats et notaires situé à Jérusalem est spécialisé dans les successions et sera à votre disposition dans cette affaire.

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Cet article est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un avis juridique

Jusqu’à récemment, les personnes qui n’étaient pas en mesure de prendre soin d’elles-mêmes (telles que les personnes âgées qui souffraient de démence ou les personnes ayant une déficience mentale ou physique) étaient définies par la loi comme des personnes “protégées”, et le tribunal leur attribuait un tuteur.

Au mois d’avril 2018, un amendement à la loi de capacité juridique et de tutorat a été adopté, et des dispositions juridiques ont été mises en place, exprimant une nouvelle approche sociale à l’égard des personnes handicapées. Ces arrangements permettent à toute personne, tant qu’elle est capable et compétente, de déterminer à quoi ressemblera sa vie à l’avenir, lorsqu’elle sera incapable de prendre des décisions ou de gérer ses affaires.

L’une des méthodes définies par la loi est la procuration permanente (connue en France comme le “mandat de protection future”). Dans ce genre de procuration, une personne peut déterminer qui sera habilité à l’avenir à être son mandataire, quelles sont les questions pour lesquelles elle recevra une assistance et de l’aide du mandataire (médicales, personnelles et concernant les biens), et quels sont les pouvoirs du mandataire sur ces questions. Dans cette procuration, la personne peut spécifier quels sont ses souhaits personnels quant à la gestion de sa vie à l’avenir, fournir des lignes directrices et des limites concernant divers sujets qui sont importants pour elle (par exemple, si elle souhaite continuer à vivre dans sa maison et ne pas déménager dans un logement protégé, ou une maison de retraite avec soins infirmiers, si elle souhaite continuer à verser des dons à diverses institutions et organisations ou à donner des cadeaux en vue du mariage des membres de sa famille proche, etc.

La procuration est déposée au bureau du Curateur général jusqu’au moment où l’on devra s’en servir, et peut être modifiée et annulée à chaque moment, à condition que la personne qui l’a remise soit toujours compétente.

Il n’est possible d’obtenir des explications détaillées et de rédiger une procuration permanente que par l’entremise d’un avocat qui a reçu une formation appropriée et qui est autorisé par la loi à rédiger une telle procuration.

Notre cabinet a été autorisé par la loi à rédiger les procurations permanentes.